Don Quichotte. Toute la vérité, rien que la vérité.
A l’occasion du 400ième anniversaire de Don Quichotte
Don Quichotte Don Quijote Don Quixote
Don Quichotte Don Quijote Don Quixote
DON QUICHOTTE : une gloire jamais éteinte entoure ce livre qui reste, avec la Bible, le livre le plus lu au monde. Quel est son secret ?
Dominique Aubier voue son existence à résoudre cette énigme. Menant son enquête, cet écrivain —une vie de recherches, d’investigations pour comprendre— devient experte de la kabbale hébraïque. Munie de cet instrument, elle ouvre le symbolisme de Don Quichotte, le décode et en libère le sens. La découverte est sensationnelle: Don Quichotte est un livre qui est lisible à la fois en castillan et en hébreu. Cervantès, en effet, dissimule un message dans son texte. La deuxième édition (1608) originale du Quichotte, révisée par son auteur, est truffée de «fautes» que les officiels s’empressent de corriger dans les éditions suivantes. Mais en réalité, il fallait décoder ces «erreurs» qui n’en étaient pas et qui transformaient, par l’omission d’une lettre, par l’accentuation mal placée, le roman castillan en un traité initiatique habité du système qui fonde l’herméneutique : autant de messages cryptés, dont certains sortent droit du texte biblique, notamment des chapitres d’Ezequiel. Je sais qui je suis, dit Don Quichotte. Qui est-il vraiment ? Dominique Aubier suit Cervantès à la trace. Elle restitue le fil conducteur de sa pensée, si bien que l’enquête est menée par Cervantès en personne, qui pose des jalons dans un jeu de piste dont le trésor est l’apparition du sens.
Voilà qu’en pleine Inquisition, Cervantès, dans une forme littéraire nouvelle dont il est l’inventeur —le roman moderne— , transmet un enseignement frappé d’interdiction. Cervantès redonne ce qu’il a reçu de la tradition hébraïque et de la kabbale. Don Quichotte (Q’chott en Araméen signifie vérité) fut écrit dans un souci d’œcuménisme. En souvenir d’une Espagne, terre de rencontre des trois religions révélées, il propose à l’avenir un vaste projet culturel plaçant en son centre la puissance du verbe : Cervantès met le génie ibérique au déversoir de la sagesse donnée au Sinaï. Il effectue, en mode occidental, le relevé de la doctrine divine portée par la réflexion hébraïque. En cela, son action n’est-elle pas… messianique ?
Dans cette série d’ouvrages rédigés dans un style éblouissant, somptueusement documentés, Don Quichotte démontre qu’il a la puissance d’être le recours à la civilisation, à la métaphysique, à l’Esprit.
DBR
Dominique Aubier voue son existence à résoudre cette énigme. Menant son enquête, cet écrivain —une vie de recherches, d’investigations pour comprendre— devient experte de la kabbale hébraïque. Munie de cet instrument, elle ouvre le symbolisme de Don Quichotte, le décode et en libère le sens. La découverte est sensationnelle: Don Quichotte est un livre qui est lisible à la fois en castillan et en hébreu. Cervantès, en effet, dissimule un message dans son texte. La deuxième édition (1608) originale du Quichotte, révisée par son auteur, est truffée de «fautes» que les officiels s’empressent de corriger dans les éditions suivantes. Mais en réalité, il fallait décoder ces «erreurs» qui n’en étaient pas et qui transformaient, par l’omission d’une lettre, par l’accentuation mal placée, le roman castillan en un traité initiatique habité du système qui fonde l’herméneutique : autant de messages cryptés, dont certains sortent droit du texte biblique, notamment des chapitres d’Ezequiel. Je sais qui je suis, dit Don Quichotte. Qui est-il vraiment ? Dominique Aubier suit Cervantès à la trace. Elle restitue le fil conducteur de sa pensée, si bien que l’enquête est menée par Cervantès en personne, qui pose des jalons dans un jeu de piste dont le trésor est l’apparition du sens.
Voilà qu’en pleine Inquisition, Cervantès, dans une forme littéraire nouvelle dont il est l’inventeur —le roman moderne— , transmet un enseignement frappé d’interdiction. Cervantès redonne ce qu’il a reçu de la tradition hébraïque et de la kabbale. Don Quichotte (Q’chott en Araméen signifie vérité) fut écrit dans un souci d’œcuménisme. En souvenir d’une Espagne, terre de rencontre des trois religions révélées, il propose à l’avenir un vaste projet culturel plaçant en son centre la puissance du verbe : Cervantès met le génie ibérique au déversoir de la sagesse donnée au Sinaï. Il effectue, en mode occidental, le relevé de la doctrine divine portée par la réflexion hébraïque. En cela, son action n’est-elle pas… messianique ?
Dans cette série d’ouvrages rédigés dans un style éblouissant, somptueusement documentés, Don Quichotte démontre qu’il a la puissance d’être le recours à la civilisation, à la métaphysique, à l’Esprit.
DBR
Volume 1.
Don Quichotte,
le prodigieux secours du messie-qui-meurt
Livre cousu, 464 pages, 18 x 24 cm, lettrines et gravures extraites de l’édition originale espagnole de 1608, Couverture conçue par Jean-Louis Espilit
Il existe une édition originale exceptionnelle numérotés, 18x24cm
Don Quichotte,
le prodigieux secours du messie-qui-meurt
Livre cousu, 464 pages, 18 x 24 cm, lettrines et gravures extraites de l’édition originale espagnole de 1608, Couverture conçue par Jean-Louis Espilit
Il existe une édition originale exceptionnelle numérotés, 18x24cm
Volume 2.
Don Quichotte,
la révélation messianique du Code de la Bible et de la Vie
Livre cousu, 445 pages, 18 x 24 cm, lettrines et gravures extraites de l’édition originale
Don Quichotte,
la révélation messianique du Code de la Bible et de la Vie
Livre cousu, 445 pages, 18 x 24 cm, lettrines et gravures extraites de l’édition originale
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